[L'Afrique Du Sud: Le Swaziland]

[Le Pacifique: La Polynésie Française]

[L'Amérique Centrale: Le Mexique]

[L'Europe De L'Est: La Serbie]

[Festival de Confolens: Résumé à venir]

Ecrire à outrance est un bonheur pur. Vous dire que cette dernière semaine de kart était putain de bien aussi c'est vous insinuer que tout va bien en ce moment. Hallucine ta race, j'écoutes du DR DRE en boucle en épiloguant. Merci Hailie. Rémi ? C'est la source même du "tout va bien". J'oublies Ghislain un peu plus chaque jour, à la rentrée je ne le reconnaitrai même plus surement. J'èspère. Parce qu'il ne mérite rien d'autre que mon indiférence et que lui accorder 1 minute de mon crédit serai un acte de soumission extème. Oui, j'le considères comme de la merde après tout ce j'ai pu dire de lui. Mais j'le répète, quand on aime les premières fois, on est bien aveugle, on masque les défauts et on refuse d'admettre autre chose que des "qualités". Rémi lui, tiens à m'offrir le meilleur. De l'Amour en bloc, tout ce dont une fille puisse rêver. Il présente mon ex comme "un connard", me répète qu'il m'aime pendant les grands blancs au téléphone, m'assure que la distance pour lui c'est rien, qu'il a pas peur, qu'il est fort. On se verra peu durant cette année. Mais on se verra, et c'est là toute notre raison de vivre. Parce qu'on s'aime. Qu'on ne peut plus en douter. Qu'on ne peut plus vivre l'un sans l'autre. Je veux revoir mes chéries, parce que les vacances vont bientôt se terminées, et que je suis nostalgique lorsque je repense à ces dernières année passées à vos côtés, aux étés derniers aussi ... Oui je peux le dire, je suis heureuse, et plus récemment, comblée comme jamais. Je vis des moments magiques, qui sont un trésor à mes yeux pour lesquelles je pourrai mourir de ne pas les avoir vécues, pour lesquelles je donnerai Tout. Je voulais juste écrire une énième fois à quel point je les aimes, et à quel point je ne serai rien sans Elles. Cassandre, Camille, vous êtes l'Or de ma vie. Vous êtes ma chair, mon sang, mon bonheur; vous êtes moi, et tout ce qui s'en décline.

J'suis rentrée de ma semaine de colo. Appréhension donc, mais tellement bien évidemment ... Je l'savais que ça allait être génial, mais bon j'pensais pas à ce point. J'ai encore recontré des gens formidables. Certains se détachent; normal. Je citerai en premier lieu Eudes (prononcez sans le "s") , le premier gars que j'ai remarqué, une pure bombe j'avoues, mais surtout un gars trop spontané qui fait des vannes au taquet trop hallucinantes "attends j'reviens j'vais pisser un bol ...". C'est mon frère de ch'veux ... Un bouclé brun pur sang, futur dreadeux-rasé ... Et puis Shao (prononcez "Sao"), on se connait déjà depuis 1 an à vrai dire. La dernière fois que je l'ai vu il avait les cheveux qui lui tombés sur le nez, mais là ... Et que j'te mets le baggy blanc, le Reebok toute neuve, gavé de gel dans les cheveux courts, en pics avec les lunettes fashion ... O_o J'étais sur le cul. Et puis ... Une autre recontre aussi. Un garçon avec qui j'ai beaucoup sympatisé, tellement même, qu'il considère que nous ne faisons qu'un à présent. Et réciproquement ... Il s'apelle Rémi. Vous penserez encore surement que j'abuses et que vraiment c'que j'ai comme vision de l'Amour sur mes articles précédent c'est que d'la gueule et d'la merde en puissance parce que je donne l'impression de me contredire sans cesse ... Soit. Chacun son trip, y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis ... Moi en tout cas j'apprends à avancer, à tirer quelque chose du "vécu" pour mieux anticiper les autres qui arriveront ... Seulement j'ai retenu une certaine morale de mon "histoire" avec Ghislain au final ... C'est qu'on peut marcher dans la merde quand on est pressé, mais qu'il faut savoir s'arrêter pour nettoyer sa chaussure ... Rémi est à ma taille, comme fait "sur-mesure" ... Il aime Slipknot, un peu moins qu' "avant". Il a des yeux indéfinissables, plutôt gris. Des fois gris-bleus, d'autres fois gris-verts ... Et une dentition absolument parfaite. Je ne veux pas m'attarder cependant sur son physique. Parce qu'à mes yeux, il est magnifique à l'extase que ce soit en pantalon militaire, ou dans son petit Levis 501. C'est quelqu'un de simple, qui tripes autant que moi, sur les mêmes choses. Et puis quand on dit "je t'aime" au coin de l'oreille, on a envie de pleurer, on réfléchi vite, on se dit que c'est impossible ... Qu'il ne nous voit pas vraiment, que c'est trop tôt, qu'il y a beaucoup de choses qui font "que" ... Alors on le regarde tendrement avec une tête un peu triste, on le sert fort dans ses bras, le laissant poser cette question ... "Et toi ?" On reçoit un second coup au coeur en moins de 30 secondes ... On lui sourit, mais les mots ne sortent pas. Pourtant j'aimerai ne pas avoir à me forcer pour lui ... Et puis on lui explique pourquoi ça sort pas tout de suite. Pour "que" finalement, sur la ligne de départ, sur un kart, à travers un casque, on se tourne vers lui, on prend son courage à deux mains, on frissonne sous le soleil matinal, tapant, et parmi les moteurs vrombissants, brûlants ... Soit murmurer un délicat "je t'aime", rendu par un sourire, le plus beau qu'il soit. Je fini 3ème de cette course là ... La "Famille" sur le podium. Antoine, notre fils xD en 1ère place, puis mon Rémi en 2nde. C'était une belle semaine. Il me manque déjà et j'ai hâte d'être demain ... Je ne sais pas si cette semaine sera aussi bien, j'en doutes à vrai dire ... Mais où que je sois, tant que c'est avec lui; tout va bien.

Le lendemain en question, hier donc, c'est le bordel à Cognac; Blues Passion et Tour De France, plus personne circule. Moi j'passe ma journée sur MSN à rien foutre ... Nan désolé, j'ai pas forcément envie de me geler les couilles parce qu'il pleut à aller matter des gars qui passe à 30 à l'heure sur un vélo, avec des maillots sponsorisés jusque sur le cul, pour attraper des casquettes Cochonou ou des sacs Bouygues Télécom pendant 5 minutes ou il y aura France 2 qui tournera en Hélico au-dessus de ma tête ... Ouf ! Nan ça m'intéresse pas désolé, et puis j'aime pas le vélo ... L'histoire de La grande boucle me passionne pas, même si elle passe devant chez moi ... En soirée, Blues Passion acte II. Avec plus de motivation évidemment, on sort avec Maman, on se pose à l'Heritage ... Mais le menu cantine c'est pas not'truc, les moules frites c'est d'la merde. On plante la serveuse, on se lève, on s'casse. On va bouffer un croque au Garden, on connait, et puis c'est bien meilleur ... Après je retrouve Camille et François, musique, beau monde, connards, connasses, poufs, rugbyman, emos, musiciens, dreadeux, racailles, panamas, bref, ça passe tranquille mais surement ... Dans une heure à peine là, je m'en vaispour une semaine en colo, à Pons. Faire du karting, pou la euxième année. L'année dernière j'ai fini première de ma course, la seule fille que j'étais tens ! Et là on remet ça, l'appréhension évidemment, mais pleins de souvenirs en tête de la dernière fois alors je croise les doigts et jèspère que tou ira bien que tout sera comme la première fois. A la semaine prochaine les gens, je reviens Samedi, d'ici là bonne semaine.

C'est toujours quand on fait rien de ses journées qu'on se retrouve devant le PC à raconter d'la merde sur celles-ci. C'est toujours lorsqu'on fait des trucs bien sympas que tout s'enchaine et qu'on a plus le temps de tout noter. Journée plage avec maman jeudi. J'ai tout préparé la veille; j'attends ça depuis trop lontemps tu penses ... Alors jeudi, journée plage. On se gourre de direction, Royan au lieu de Marennes-Oléron, c'ets gros quand même, mais on fait les boutiques à la place, achats de shorts et de Polos pour mes fesses et mes seins donc. On est parties à 9h30, arrivées à 16h. Y'a de quoi rire. Mais Ronce-Les-Bains c'est comme d'hab, tu trouves toujours LA bonne plage où il fait chaud, où il y a quand même un peu de vent, pas trop de monde, genre pas de familles nombreuses, chiens, "papys-mamies" ni le petit frère de 4 ans, des putains de vagues de deux mètres, des maîtres nageurs à t'en noyer, du beau matos, 'fin en gros de quoi passer une putain de bonne journée à LA plage, la VRAIE. Et puis quand t'es photographe amateur que tu prends des clichés carrément gérablesen fin de journée au coucher de soleil, que des jeunes claquant le cerf-volant à plein vent sur une longboard, d'une vingtaine d'années te demande à la fin de la "séance", tes photos, avec un RDV le lendemain même heure même endroit, par manque de "papiers-stylos" soi-disant ... C'est en gros, c'qu'on qualifie comme bonne journée. Le lendemain, après avoir été bien démonté dans les vagues avec le bodyboard ... On remet ça ! On emmenent Cassou dans nos bagages. Trop de vagues ... On laisse tomber la planche aujourd'hui. Alors j'recroise les deux gars encore, stylos et papiers à la main du coup. Et puis je bronze, fin de journée, j'continue de shooter, on rentre, l'allure de surfeuse, les cheveux blondis et bouffés par la mer, la planche sous le bras, le sable dans la voiture, les tongues aux pieds, l'air d'un vainqueur qu'à pas tant perdue sa journée que ça ... Le soir, Blues Passion vite fait avec Camille, elle est crevé, on reste pas longtemps du coup. On remettra ça à demain.

J'suis restée la journée scotcher au PC, en culotte. Je n'ai rien à faire d'autre en réalité. J'aurai aimé rouler un peu aujourd'hui. La route était pas out à fait sèche, alors j'ai abandonné. Je me laisse aller. Je navance pas, les ollies ne se feront pas tous selspourtant. Alors peut-être demain. En écrivant, je mange des conneries de gateaux apéritifs genre chip's, enveloppées dans un tube en carton violet de 160 grammes, ils appellent ça; Pringles*. ls ne sont pas simplement salés, ils sont "light, fromage style grec avec une touche d'huile d'avocat". Un régal. Ils sont "reconnu saveur de l'année". Donc demain j'ferai du skate pour le coup =). J'ai causer avec Cassou, j'ai déccrocher quelques photos de mon mur, les remplacant par d'autres, j'ai en quelque sortes banni Ghislain, comme il m'a chassé de sa vie et de son coeur. Je conçois que cela n'a pas été trop éprouvant pour lui, puisqu'une semaine après, il été déjà recasé. Cet homme n'a aucun coeur. La scène du "je veux plus qu'on soient ensemble ça va être trop dur, on est loin, attend je m'en vais en pleurant" avait fonctionné je l'avoues. Et j'avais cru naïvement à la sincérité d'un homme; une fois de plus. Décevant, déçue. Un sentiment pathétique émane de moi. Le pauvre. Mais bon, il est passé très vite à autre chose. Dois-je faire de même dans cette situation ? Nan. Moi j'ai du coeur, j'en ai beaucoup, j'en avais beaucoup ... Et j'ai tout perdu. Je mets désormais un Patch* quotidien qui me garanti le fait de ne plus tombée amoureuse. Ca marchera, c'est comme l'arrêt de la clope je suppose; c'est psychologique. Et puis j'apprends que c'est en voulant tout donner qu'on se retrouve fauché moralement, sentimentalement. Coup sur coup. J'ai tenté trois fois ma chance depuis cet été, parce qu'avant il n'y avait rien, qu'l n'y a jamais ren eu. Malheureusement avant, un baiser était une action sacrée à mes yeux, aujourd'hui ? Ca ne vaut rien, c'est banal et il faut fuir la banalité. Parce qu'un homme qui sera amoureux de moi, sera devenu l'une des boutades les meilleures que l'on me fera jamais, c'est de la fiction, quelque chose d'inconcevable, de perdu d'avance en fait. Merci d'avoi osé me lire jusqu'ici ... Sinon ? Jean-Pierre Pernault clame haut et fort que le monde va mal au J.T. de 13 heures, moi j'enfourne les films d'Amour à la pelle dans le lecteur DVD, m'enfilant en conséquences toutes sortes de sucreries indigne d'un régime prohibé par quelconque magazine de mode, signalant au passage, que toutes les ados célibataire dans mon genre, permettre que l'industrie alimentaire du Mars*, Twix* et autre Kit Kat* en tout genre prolifère, ainsi qu'accessoirement, celle du cinéma qui frôle toujours le 6 millions d'entrées pour les derniers films en salle, classés "comédie romantique" ... Vive l'Amour, l'Adolescence, les "No-Life", la rédaction de TF1, les mecs avec des excuses bidons et la fabrique de Pringles*.

___# Introdution [?]

Il parait qu'il faut savoir s'acharner sur un projet pour pouvoir le réussir, qu'il faut être motivé. Alors je tente un nouveau blog, en changeant de site, en changeant de point de vue. Et puis j'ai vu d'autres blog, celui de "Marc De Cognac" entre autres, alors je crois que le mot "booster" est de rigeur pour toute explication d'un commencement, ou plutôt, d'un recommencement ... j'aimerai bien tout raconter en un seul article, je m'aperçois cependant que cela serai trop long évidemment. Comme si quelque part j'avais vécu un début de vie bien chargée. C'est rassurant pour une ado de s'entendre dire ça au fond de ça tête. A côté de tous ces vieux clichés, qu'on est tous dépressifs, qu'on déteste la vie au point de se suicider, qu'on aime pas sa famille, etc. Cela en devient persque marrant si on positive le "problème". Je n'ai pas envie de me prendre la tête ici, mais plus de parler franchement, comme j'ai vraiment toujours voulu le faire, sans forcément me dire, "attention fais gaffe au comment tu tournes ta phrase parce qu'il y a un tel qui a l'adresse du blog ..." Nan, j'pense qu'il faut savoir faire face, assumer ce que l'on pense dans la vie, tout est bon à dire, les bonnes choses comme les plus délicates à faire comprendre, ça fait toujours réfléchir après tout ... J'voudrais me présenter un peu, même si tout dire sur moi est effectivement impossbile ...

Sachez seulement que j'écris pour débarasser ma cervelle, pas pour encombrer celle d'autrui ... Si l'on appelle "écrivain" un homme qui écrit, on apelle aujourjourd'hu jeune "écrivain" un homme qui a l'intention d'écrire.

Moi. Cobja. Oui c'est un surnom "original", tout d'abord parce que "Caroline" ou "Caro" sont trop utilisés et trop laids pour m'insérer noblement dans ma profession ^.^ Oui, je travail. Pour tout vous dire je suis un requin de la finance. Cobja est mon surnom, mon nom de chef d'entreprise et de business-woman affirmée. J'ai utilisé ce pseudonyme dissimulant de ce fait ce fabuleux talent de côté pour mes années avenir, comme une option pour m'en sortir si jamais je suis un jour dans la merde.

En dehors de ça, je m'intéresse aux choses simples que m'offre la vie. Je suis une ado de 16 ans,rentrant en 1ère littéraire opion musique, alors vous me direz que j'ai que ça à foutre de ma vie, que d'emmerder les autres avec des conneries aussi grosse que celle raconté ci-dessus (ah vous y avez cru ? o_O).Vous me direz aussi que mes idéologies et ce que je pense n'intéresse que moi. Et bien je suis persuadé du contraire, ma mère me surveille pour mes "études" d'ailleurs, et de toute façon j'vous emmerde, c'est mon blog. Justement, pour savoir sur le blog de qui vous êtes tombé je vous direz juste que déjà, j'suis pas une pouf, une fan de Slipknot, une tête de classe, un mec (c'est con mais faut le dire ! ^.^), un cas-soc', ou tout autre truc bizarre dans le même style. J'évite d'employer le mot "normal" parce que selon mes théories n'est-ce pas, il n'y a pas de normalité, et parce que comme dirai l'autre, le point commun des êtres humains c'est d'être différents. Alors pour commencer en beauté je vous ferai lire que je suis dépressive autant que je trip sur de la merde, que je vis avec du rêve, de l'implicite et du subjectif pour beaucoup de choses. Je ne suis pas une junky droguée qui fume du pet' pour autant, mais je profite de cette période d'incertitude et de décadence, comme dirai ma mère, qu'est l'adolescence pour faire ce qui me tient à coeur en tant que telle. D'ailleurs le résumé de tout ce baratin que vous venez de lire et simplement que je suis une fille et que je vis en fait. Je ne bois pas et ne fume pas. La musique est une base importante de ma vie, autant que tout autre art, je pense à la photographie, ou encore à l'écriture. D'ailleurs j'ai envie d'écrire là tout de suite maintenant.

Je me remets en question par un clavier de PC. C'est bizarre ? bah ouais carrément. En même temps c'est moi faut pas chercher. Mais des fois je me demande si je ne ferai pas mieux de taper simplement mes paragraphes sur Abiword* et de les laisser enregistrés dans mes dossiers sans rien dire, sans rien publier. Et puis des fois l'envie me prend de dire au monde entier comme je l'aime, de crier sur tous les toits que je suis conne et que j'aime ça, que je suis inconsciente et que je le sais pas (logique ^.^), que j'ai envie de serrer dans mes bras beaucoup de personnes qui ne s'en doute même pas, que des fois je suis euphorique pour rien et que l'on peut me demander pratiquement tout ce que l'on veut, je dis "oui". Je suis moi. Enfin presque, dumoins je crois. A savoir aussi que quoi que je dise ou fasse, selon si ça va ou pas, la musique de mon mp3 contribue énormément à mon état d'esprit et à mon humeur. Alors si vous me croisez un jour comme ça qu'importe l'endroit, petit conseil : agrippez mon écouteur et vous saurez, si oui ou non tout baigne ...

Certains autres moments, comme celui-la, ici où j'écris, je me demande si ça vaut seulement la peine de prendre du temps pour faire de belles photos qui me rendent heureuse, continuer à manger du Nutella* sans culpabiliser pour une quelconque charge pondérale, rêver de tout et même de l'impossible, laisser figer un sourire jusqu'aux oreilles lorsque je vois certaines personnes, continuer d'écrire mon Cahier d'humeurs* sans me le faire confisquer en cours, philosopher sur des choses anodines de la vie quotidienne, épiloguer sur les personnes les plus chères à mon coeur, chercher et créer quelques phrases à publier sur mes blogs, je me demande si je devrai encore continuer à cacher ce que j'aimerai crier tous les jours ? A qui pourrais-je un jour dévoiler qui est cette jeune fille qui m'accompagne à tous moments ? Je parle de moi. De nous. Ce "moi" là, celui que tout le monde connait, qui rit, qui délire, qui parle avec le coeur, et qui parle tout court. Et puis l'autre, celle qui pense, travail, réfléchi, et qui écoute.

Ces deux "moi" se confrontent, se cherchent, se rencontrent selon l'auditeur. C'est pour une raison très simple que certains et certaines connaissent ces deux parties de moi, ce critère est basé sur la confiance. Je sais bien que vous allez penser qu'aborder le thème du double en français me fais délirer dans les deux sens du terme, mais grâce à ça je peux écrire cet article. Cette partie de moi, c'est moi. Et pour créer ce "moi" j'aime m'inspirer de petits bouts des autres. J'aime les gens. J'aime ce qu'ils sont, ce qu'ils cachent, ce qu'ils se donnent comme image, ce qu'ils pensent et m'y plonge avec grand intéret ... Alors, avec l'aide inconsciente et involontaire des autres je fais fusionner selon mon humeur, ces deux moi, ce nous, pour me créer et me développer aussi une image,ce tout, qui forme la jeune fille que je suis. J'expose alors ces personnalités multiples, propres à chacuns en fait, aux vues des autres, pour les écouter, pour discuter, épiloguer, commenter, et vivre "grâce aux gens" qui m'entourent sans pour autant vivre "par rapport à eux" et en être dépendante.

Heureusement que je ne souhaite en aucun cas m'étaler sur quelque présentations proprement dites hein, alors j'enchaine. =)